• Wallah we can, où la permaculture pour lutter contre les inégalités

    par Mohamed. 

     

    Consciente des inégalités dans des domaines clés tels que la santé et l’éducation, l’association plaide en faveur d’un accès équitable à une éducation, un environnement d’apprentissage et un cadre de vie de qualité afin de permettre aux enfants et aux jeunes de s’épanouir.

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  • RAJ chez les jeunes

    Une association pour le climat

    qui se présente ainsi  sur leur page facebook.

    "le Réseau Alternatif des Jeunes de Tunisie est une dynamique qui s’est créée pendant le Forum Social Mondial 2013 ( ... )
    Après avoir rencontré des jeunes de la société civile internationale, nous avons décidé de créer une organisation fidèle aux principes et aux modes d’organisation des nouvelles structures crée par pour les jeunes dans le monde." 

    Ils ont mis en place la plateforme « GCF  »  qui est un espace en ligne qui consiste en une source d’informations, de réflexion et d’expertise sur le changement climatique et le développement durable en Tunisie.

    Elle a pour but de fournir aux citoyens en particulier les jeunes (internautes) une base de données en ligne décrivant la situation et les politiques environnementales et climatiques en Tunisie.

    La plateforme « GCF » implique tous les acteurs agissant directement ou indirectement sur le paysage environnemental et climatique, ceci en assurant une lecture critique de ces politiques, notamment trouver des alternatives.


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  • Une année de seconde, en cours de géo ... et d'EMC

     

    Octobre : Tout a commencé par un documentaire " La révolution est là"  et une rencontre avec la réalisatrice Teycir ben Naser qui nous montre qu'en Tunisie, des citoyens engagés ont envie " que ça change" à tous les niveaux : économique, social, mais aussi culturel et environnemental !  et qui donnent envie de faire pareil ! 

    Une année de seconde en géographie.

     

    L'idée du site est né, pour permettre aux élèves d'effectuer un tour d'horizon des initiatives locales en Tunisie , de rencontrer des personnes engagées, pour leur donner envie d'agir à leur tour en Tunisie , de revenir travailler ici après leurs études ... Heureux qui comme Ulysse... 

     

    Octobre à mai : Ensuite,  les élèves, à partir d'autres documentaires, d'autres rencontres,  et des leçons de géographie du programme ont pu découvrir, comprendre et débattre des problématiques et enjeux du développement durable dans le monde et en Tunisie et des limites de cette notion. 

    Une année de seconde en géographie.

    Une année de seconde en géographie.

    Une année de seconde en géographie.

     

    Décembre : En parallèle, les élèves ont essayé , et réussi pour certains, à créer un site internet pour rendre compte de leurs travaux et nous nous sommes petit à petit familiarisés avec l'outil numérique, même si ce n'est pas l'outil préféré de tout le monde, et que nous n'étions pas forcément dans les meilleures conditions pour travailler ! 

    Une année de seconde en géographie. Une année de seconde en géographie.   


    Janvier à mai
    : Enfin, avec beaucoup d'enthousiasme pour certains, plus de doutes et de réticences pour d'autres,  les élèves ont rédigé des articles ou sont partis sur le terrain  à la rencontre de citoyens engagés en Tunisie dans différents domaines. Certains ont fait des kilomètres pour réaliser leur interview !

    Une année de seconde en géographie.

    Parfois même deux ou trois interviews  ! J'ai reçu le travail de quelques élèves  dans les jours qui suivaient, pour d'autres j'ai attendu... quelques mois !  Cependant, il y a en a eu pour tous les goûts et chaque élève à un moment y a trouvé un intérêt voire du plaisir !  Beaucoup ont été surpris, étonnés, enchantés de faire toutes ces découvertes et rencontres, de voir de beaux paysages, de beaux lieux et de belles initiatives. Leurs réactions m'ont moi même surprise parfois, agacée quelques fois, et émue à de nombreux moments ...  Malgré le scepticisme encore bien palpable chez certains d'entre eux, le découragement que j'ai ressenti à certains moments ( surtout dans les salles informatiques où rien ne fonctionne comme il faut, les remarques désenchantées d'adolescents blasés ou les querelles parfois inutiles ) , je crois que ce travail de toute une année a été jalonné de très beaux moments. Je garde en tête les sourires, les froncements de sourcil , les débats passionnés, les remarques brillantes, les questions constructives lors des rencontres, le bonheur d'avoir une pelle entre les mains à la place d'un stylo, d'aller farfouiller dans les poubelles ou faire de jolis bouquets de fleurs des champs,  et les retours très positifs de toutes les personnes qui ont bien voulu venir nous rencontrer, nous communiquer leur passion et transmettre leur savoir.

     

    Les productions des élèves sont variées, sous forme d'articles, cartes mentales,  vidéo ou enregistrements audio. Elles ont toutes été lues, corrigées, relues, modifiées de nombreuses fois mais cela n'empêche pas les imperfections... 

    Je félicite tous les élèves pour tout ce travail accompli.

    Je remercie mes collègues qui ont soutenu toute l'année ce projet et toutes les personnes qui ont si gentiment accepté de partager ces moments avec nous  et qui ont permis à ce site d'exister: Teycir Ben Nasr, Habib Ayeb, Sonia Messaoud  et Laetitia Martin, Myriam Mzoughi  Balqis et Wafa Kenzari de l'association Terre d'Asile Tunisie, Nicolas, Célia  et l'équipe du Lémon Tour,  Mariem Ben Abdallah et Patricia de l'ATAE , Jihed Btiri de la ferme l'hérédium,  Dr Ben Miled de la GDA de Sidi Amor et l'équipe du Lab'ess . Merci aussi à tous ceux qui ont accepté de répondre aux questions des élèves et de partager leur expérience. 

     


  • Sécurité alimentaire, santé 

    Production semences  ogm  POLLUTION 

    aléas climatiques  DEPENDANCE politiques agricoles 

    Concurrence  intrants  érosion    INJUSTICE  EXPLOITATION

    pauvreté malnutrition pesticides 

    é c h a n g e s  mondialisation   f l u x   VARIETES 

    patrimoine , gaspillage, autosuffisance

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  • L'agroécologie dans l'oasis de Chénini , préserver ensemble.

    De Sonia Messaoud et Laetitia Martin


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