• La révolution est là par Donia.

    Rencontre avec Teycir Ben Naser, réalisatrice du documentaire "la révolution est là"

    par Donia

     

    Teycir Ben Naser est une journaliste et réalisatrcice du documentaire "la révolution est là" sorti en 2018 en Tunisie. Cette-dernière" est spécialisée dans l'information positive sans tomber dans l'angélisme, ses articles se veulent comme une courroie de transmission d'initiatives discrètes qui impactent la réalité" dit-elle. "Une bouffée d'espoir et foi"  en un avenir meilleur : c'est ce qu'à voulu infuser à travers son documentaire Teycir Ben Naser.

     

    Objet du documentaire:

    "A bord d'un louage, la réalisatrice va à la rencontre d'hommes et de femmes, des entrepreneurs tunisiens qui participent à la construction d'un nouveau modèle de société. Elle propose une immersion dans l'histoire de chacune de ces initiatives, qui apportent des solutions concrètes à l'échelle locale. "                                                                                                                                                                                                                            

    "Ce film montre donc des formes discrètes de resistance dans les domaines de l'agriculture, de l'éducation, de la culture et de la gouvernance. Il confronte subtilement l'espoir de reconstruire une Tunisie nouvelle , au reve de la quitter, et oppose au désengagement de l'état, l'engagement de citoyens ordinaires qui redonnent à la notion de bien commun, tout son sens."

    Cette-dernière va donc partir de Moncef bey à Tunis, puis Mornag, Bir-salah,Chenini (Gabès),Jemna et enfin Fernana.Ce documentaire va nous montrer différentes personnes dont Sarra toumi,une française porteuse du projet "Acacias for all" ayant ouvert une bibliothèque ainsi qu'une association " Le club des jeunes" en raison du manque de moyens dans cette région.Aam Salah quand a lui lançeur du projet écologique Mornag éco ferme qui est un agriculteur vendant ses propres graines et n'utilisant pas de pesticides tout en essayant de transmettre son savoir à son petit-fils. Il y a aussi Amine Draoui qui lui possède une ferme écologique,il fait tout par lui-meme,élève des animaux.... et d'après lui, tout s'apprend dès l'enfance.                                                                                                                                                                                                                        Il y a aussi Gabssen et Mohamed Lassad Laabidi qui ont crée une café "Liber'thé" culturel ou les jeunes peuvent venir pour parler de différents sujets (artistiques...)  ainsi que Hajer Bejaoui et Sarah Oueslati,deux professeurs de français ayant décider d'apprendre aux élèves d'un autre façon.Toutes ces personnes vont donc montrer à partir d'un road-movie de 52 minutes leur engagement pour la Tunisie pour construire une société plus altruiste et respectueuse de l'environnement.

    Résumé de la rencontre:

    La réalisatrice nous a dit avoir beaucoup voyagé en Tunisie.Elle a eu envie de réaliser un film qui fasse le lien entre les différentes initiatives des habitants et montrer qu'il existe des hommes et des femmes qui proposent des solutions concrètes aux problématiques que connait le pays. Il lui semble nécessaire de donner de l'espoir et de montrer qu'on peut raconter une autre histoire de la Tunisie post-révolution : celle de ceux qui participent à la construction d'un nouveau modèle de société, plus résilient.

    Avis :

    J'ai trouvé cette rencontre enrichissante. En effet, cela m'a permis d'observer différents points de vue et ainsi nourrir ma réflexion.

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